Historique

587
Fondation du monastère "St Martin des Glandières" par BODAGISTE Duc d'Aquitaine.

1552
L'abbaye et l'église sont ravagées par les troupes d'Albert de Brandebourg.

Ancien plan de lonngeville

1635
L'abbaye et l'église sont ravagées pour la deuxième fois par les Suédois.

1672
L'abbaye et l'église sont ravagées à nouveau par les Luxembourgeois.

Eglise

 1685
L'église et l'abbaye furent restaurées par DON HILARION de BAR avec l'aide de LOUIS XIV.

1867
Construction de l'Eglise Saint-Magne avec un remarquable jeu d'orgue monté par un facteur allemand, nommé RIVEMACH.

Intérieur de l'église Saint Magne

1791
La révolution decrète la fermeture des monastères.
Les bâtiments sont vidés, la bibliothèque transférée à Metz.

1792
L'abbaye est mise en vente aux enchères, Charles Frédéric DURBACH de CATTENOM l'achète pour
101 000 livres. Il entreprend la destruction de l'église et vend les matériaux.

1817
Charles Frédéric DURBACH étant partisan des nouvelles cultures agricoles, sur ses terres, il fait cultiver de vastes surfaces en pommes de terre. Les quantités récoltées dépassent largement les besoins de la consommation locale. Charles Frédéric DURBACH crée une distillerie de pommes de terre non loin d'une source très pure qui conviendra parfaitement pour la fabrication d'eau-de-vie : le "Schnaps".

1844 (Extrait du Dictionnaire Topographique de l'Ancienne Moselle)
On compte :
- 364 maisons, 492 ménages
- 1669 hectares de terres
- 2 écoles fréquentées (par 158 garçons et par 170 filles)
- 4 moulins, 3 huileries, 1 four à chaux, 4 étangs de 34 hectares
- 1 brasserie, 5 auberges.

1871
Annexion de Longeville Lès Saint-Avold dans les territoires allemands. Longeville prend alors le nom de Lubeln puis Langsdorf.

1894
A la mort des derniers représentants de la famille DURBACH, tous les biens (château, terres, distillerie) furent mis en vente aux enchères. La distillerie et ses terres proches furent rachetées par des familles de Longeville : Nicolas LOSSON, Jean STEIN, Jean-Pierre VINCENT et Jean-Nicolas BRECHER tous distillateurs de père en fils.

1905
L'abbaye est revendue à l'Evêché de Metz.

1937
Un incendie ravagea le deuxième étage et la toiture de l'Abbaye. C'est grâce à l'appui des "longevillois" que l'abbaye fut reconstruite en deux ans.

1939
La déclaration de la seconde guerre mondiale provoqua l'évacuation de tous les villages situés en avant des ouvrages fortifiés de la ligne Maginot. La distillerie cessa son activité.

1945
Les sociétaires de la distillerie vendent ce qui restent du matériel et des machines à un récupérateur de métaux et mettent le bâtiment en vente.

1954
L'abbaye est transformée en Maison de Repos et de Convalescence "Notre Dame de la Paix" (agréée depuis 1986).

Vue aérienne de la maison de repos et de covalescence

1957
Un commerçant longevillois rachète le bâtiment de la distillerie et le fait démolir. Il ne reste donc aujourd'hui plus de trace de la distillerie et de son activité.

1985
Le Ministère de l'Environnement décide l'agrément de la Réserve Naturelle Volontaire. Cette réserve couvre 79 hectares qui comporte forêts, prairies, falaises, carrières, mines souterraines afin de préserver les chauve-souris et leurs habitats.

 

Diaporama

Données démographiques

1844 (Extrait du Dictionnaire Topographique de l'Ancienne Moselle)
On compte :
- 364 maisons, 492 ménages
- 1669 hectares de terres
- 2 écoles fréquentées (par 158 garçons et par 170 filles)
- 4 moulins, 3 huileries, 1 four à chaux, 4 étangs de 34 hectares
- 1 brasserie, 5 auberges.

POPULATION

en 1844 : 2 151 "longevillois" (Extrait du "Dictionnaire historique des communes - volume II" - VERRONNAIS).
en 1962 : 3 171 "longevillois" (recensement INSEE).
en 1999 : 3 750 "longevillois" (recensement INSEE).

en 2011 : 3784 "longevillois" (recensement INSEE).

en 2013: 3766 "longevillois" (recensement INSEE).

Etymologie

587 - Locum Glanderia

1000 - Locum Villelonge

1180 - Longavilla

1314 - Longavilla Juxta Sanctum Martinum in Glandaria

1416 - Longaville puis Lungenfeld

18è - Langendorf

1869 - Longeville Lès Saint-Avold

1871-1918 - Lubeln

1918-1940 - Longeville

1940-1941 - Langsdorf

1941-1944 - Lubeln

1944 - Longeville Lès Saint-Avold

 

 Longeville : Long domaine - Long Village

Nos remerciements à Sylvie Lambey

Historique de la caserne

Historique de la caserne

Basé sur les documents du quartier de la Tour d’Auvergne et

la 3ème brochure de Julien Bouckenheimer

 

Dès 1932, le général Hirschauer, alors sénateur de la Moselle, alerte le ministre de la guerre en disant « La ligne fortifiée n’est pas la frontière même, il y a de la place pour un

service d’avant-poste et d’avant-garde ». En effet, entre les petits ouvrages de la ligne Maginot ( Kerfent, Bambesch, Einseling, Laudrefang, Téting) et la frontière, il existait une zone dite rouge dans laquelle il fallait créer un dispositif de sureté. La Garde Républicaine Mobile fut créée et le 21 novembre 1934, la 9ème Compagnie de la Garde Républicaine Mobile s’installa dans un premier temps dans des bâtiments des Charbonnages de Faulquemont à la cité Mousaia de Créhange.

Cette Compagnie fut la première unité motocycliste de la Gendarmerie ; l’essentiel de ses missions était de surveiller la frontière sarroise, de fournir des renseignements au-delà de la frontière sur une profondeur de 4 à 6 kilomètres et d’assurer la sureté avancée du système fortifié. Elle, changea d’appellation en 1936 pour devenir la 3ème Compagnie, elle était entièrement motorisée en 1937. Elle disposait de 1 VL, de 40 side-cars, de 9 motos-solos et 4 camionnettes.

C’est fin 1937 et début 1938 que la 3 ème Compagnie s’installa dans la nouvelle caserne construite à Longeville. Le 24 septembre 1939, les honneurs sont rendus au drapeau national et au fanion de la compagnie au quartier à Longeville. A compter de ce jour, l’unité ne reverra plus sa résidence en temps de paix.

Cette compagnie, devenue 14ème Compagnie Motocycliste de la 1° Légion le 3 février 1940, participa brillamment à différents combats et obtint la Croix de Guerre avec étoile d’argent au moment de sa dissolution en 1941.

Au début de l’occupation allemande, la Garde Républicaine Mobile (GRM) devint Gardes avant de devenir, en 1942, Garde Républicaine. En 1945, la Garde Républicaine réintègre la Gendarmerie et devient Gendarmerie Mobile en 1954.

Dès la fin 1932, les Autorités Militaires envisagèrent la construction d’une caserne à Longeville. Le choix du terrain est fixé au lieu-dit Sourgewänd où une vingtaine de propriétaires furent expropriés pour une superficie d’environ 4 hectares. La construction fut confiée à la société Borie qui a construit les ouvrages de la ligne Maginot. A cette époque, la route de Faulquemont n’était pas consolidée et celle des Casernes n’existait pas.

Les travaux commencèrent courant 1934 avec du sable pris dans la carrière de Souren (derrière l’actuelle rue des Chênes) ; dans un premier temps, l’eau était prise d’après Ernest Stein dans un puits creusé au milieu de la future caserne. C’est en 1935 que la commune décida de donner au Service du Génie une parcelle du Castelberg pour y établir un réservoir d’eau pour alimenter la caserne. En 1936 en contrepartie de l’expropriation du chemin du Sourgewänd,

la commune demanda un chemin de contournement de la caserne et le droit de passage sur la route nouvellement créée devant la caserne permettant de relier la route de Faulquemont à celle de Souren (maison Petitjean).

Toujours en 1936, le conseil municipal trouva un accord avec l’Autorité Militaire, après acquisition des terrains, de réaliser la route reliant la route de Faulquemont à celle de Souren.

Les Allemands ayant envahi la France, la caserne fut occupée en avril 1941 par la Gendarmerie Posten, compétente pour Longeville, Bambiderstroff, Boucheporn et Zimming ; ces communes étaient rattachées à la Bürgermeisterei Lubeln. L’effectif moyen de 5 à 6 hommes avait pour chef Walter Andréä.

A cette même date, une unité de la SS Hilfspolizei (Gend. Komp. Mot.) composée, dans un premier temps, d’une quarantaine de Reichsdeutshe occupa aussi la caserne.

A la mi-janvier 1943, les premiers Lorrains furent incorporés dans cette unité. Le 23 février 1943, quarante Longevillois subirent le même sort soit dans la Hilfspolizei soit dans la surveillance anti-aérienne.

A la libération, en 1945, les Américains occupèrent la caserne par roulement. A cette période un fait exceptionnel se produisit. Marlène Dietrich, actrice et chanteuse mondialement connue qui accompagnait la 3ème Armée de Patton vint à Longeville et chanta pour les soldats dans les prés situés devant la caserne.

Fin 1946, ce sont les mineurs des Charbonnages qui vinrent occuper la caserne.

Les Houillères de Lorraine, occupèrent les bâtiments du quartier jusqu’en 1954. Les premiers gendarmes affectés à partir du 1er mars 1954 à Longeville cohabitèrent en parfaite harmonie avec les mineurs.

L’extension de la caserne vers la forêt se fit au début des années 80 et la restructuration du quartier débuta en 1985; année à laquelle, la salle d’honneur fut créée.

1991, fin des travaux de restructuration.

Après plusieurs changements de dénomination, l’escadron devient le 14/7 en 1991

(4° escadron du 1er groupement de la 7° Légion GM) et prend le nom : Quartier de la Tour d’Auvergne.

 

 

Thielen Eugène

 

 

 

Mines de plomb et de cuivre

Mine de plomb du Castel

Mine de cuivre du Hautbois ou Hochwald

 

Les galeries de ces mines ne sont plus accessibles de nos jours ; les entrées sont soient obstruées soient fermées par des grilles.

L’histoire détaillée de ces mines, vous la trouverez au Cube, dans la troisième brochure de Julien Bouckenheimer qui s’est lui-même basé sur les travaux de Jacques Kunzler. La brochure Géodoris reprend et approfondit ces travaux.

Le plomb a été cherché dans la mine du Castelberg et le cuivre dans celle du Hautbois ou Hochwald. Le Hautbois est la forêt qui se trouve derrière la zone industrielle.

Les exploitations ont été faites à flanc de coteau dans des filons qui se sont mis en place dans les grès vosgiens et les formations gréseuses qui les surmontent au début de l’ère secondaire, il y a 150 millions d’années à l’époque du trias.

L’historique de la mine du Castel est moins connu que celle du Hautbois.

 

L’exploitation de la mine du Hautbois, qui était la plus importante mine de cuivre de la région, s’échelonne entre 1858 et 1864. Une trentaine de mineurs y travaillaient ; ils ont extrait un peu plus de 20 000 tonnes de minerai qui ont livré 68,5 tonnes de cuivre.

La superficie couverte par les travaux est de 3,5 hectares. Le gisement épouse la forme d’un fer à cheval. Six galeries tracées en éventail pénètrent à flanc de coteau.

L’exploitation s’est faite essentiellement à l’explosif et au pic. Petite anecdote : Tous les jours, un âne chargé des pics et pointerolles à réaffûter se rendait chez le forgeron Nicolas Losson de Longeville. Cet âne avait une telle habitude du chemin qu’il faisait seul le trajet aller-retour.

Le minerai extrait était principalement de la malachite avec un peu d’azurite

Une fois extrait, le minerai était acheminé à l’extérieur avec des brouettes puis réduit en morceaux. Ces morceaux de minerai étaient concassés, le plus finement possible, avec des maillets en bois. Enfin le minerai était traité avec de l’acide chlorhydrique pour en extraire le chlorure de cuivre qui était décomposé en cuivre à partir de vieille ferraille.

En novembre 1944, des habitants de Dourd’hal s’y retirèrent et y séjournèrent en attendant l’arrivée des Américains.

 

Pour la mine de plomb du Castelberg, il manque des précisions en ce qui concerne le début des travaux. Un article de la Gazette de Lorraine du 26 mars 1882 nous dit :

A Longeville-les-St-Avold, on a constaté la présence de plomb sous le gouvernement de Napoléon III. Différents essais ont été tentés dans le but d’utiliser ce minerai. Aucun essai n’a cependant donné des résultats satisfaisants. Ce n’est que depuis 1881 qu’on a entrepris d’exploiter ces gisements sur une grande échelle.

Une usine d’exploitation a été construite fin 1880 et début 1881 du côté de Konken (côté sud du Castelberg). Ce choix de l’implantation résulte à la fois de la possibilité d’évacuer les restes industriels et de la plus grande facilité de s’approvisionner en eau. La réalisation d’un étang terminé le 5 octobre 1881 permettait à partir de pompes, le lavage d’une trentaine de mètres cubes par jour en utilisant 5 hl d’eau par minute. Le rejet de ces eaux provoqua une vive réaction de la part de la mairie de St-Avold.

L’extraction du minerai se fit d’une part en surface par carrière à flanc de coteau du côté de Konken et d’autre part par une galerie souterraine orienté NO-SE qui traverse la colline de part en part sur une longueur d’environ 240m. Cette galerie comporte trois chambres d’exploitation dont les dimensions sont d’environ 6 m de hauteur, 4 à 5 m de largeur et 9 à 16 m de longueur ; elle se trouve à environ 35 à 40 m sous terre. La largeur des galeries est inférieure à 2 m .

Le minerai extrait est la cérusite accompagnée localement de minium.

D’après la brochure Géoderis, la production totale de plomb au Castelberg est de 270 tonnes pour une teneur moyenne de 3%

L’ouverture de cette mine a apporté du travail à plus de 100 habitants de Longeville et conduit d’autres personnes à s’installer avec leur famille dans notre village L’arrivée de ces habitants non propriétaires de terrains et de bétail donc non producteurs de denrées alimentaires amena le maire Durbach à lancer un marché hebdomadaire les mercredis.

Lors de la construction de la ligne Maginot, l’armée décida, en 1934, de condamner les entrées par dynamitage.

L’entrée côté village fut dégagée en 1944, pour permettre à des Longevillois de se réfugier dans cette mine avant la libération du village.

Depuis le 29 janvier 1985, ces mines sont devenues la première réserve naturelle de chauves-souris de France. ;14 espèces y hibernent. La mine du Hautbois est le plus grand site d’hibernation pour une des plus grandes espèces de chauves-souris d’Europe dénommée Grand Murin.

 

Thielen Eugène

 

Vie à LONGEVILLE pendant l'Occupation allemande

L’exposé d'Eugène THIELEN  « Vie à Longeville pendant l’occupation allemande » du 30 octobre 2016 a attiré plus de 200 personnes :

Longeville avait la particularité d’avoir une caserne et une abbaye qui furent occupées dès 1941 par des militaires allemands. Une unité de la Hilfspolizei et la gendarmerie locale s’installèrent dans la caserne. Au couvent stationnèrent 80 à 100 hommes du RAD (Reicharbeitsdienst), qui saccagèrent l’intérieur de la chapelle pour la transformer en réfectoire et salle de réunion.

Après un an d’évacuation, tout manquait dans le village et les Allemands qui nous considéraient comme des Volksdeutsche firent tout leur possible pour rétablir une vie à peu près normale.

A cette attitude positive, se greffa immédiatement le régime nazi et dès octobre 1940 deux jeunes furent envoyés à Dachau. En effet, aux militaires s’ajoutèrent des Siedlers et quelques Longevillois pro-allemands ; la méfiance s’installa et le climat devint de plus en plus oppressif.

Le conseil municipal ne se réunit qu’une fois, le 12 mars 1941, et le seul point à l’ordre du jour était le rattachement de Longeville à Saint-Avold. Dès le 25 mars 1941, les communes de Longeville, Bambiderstroff, Zimming et Boucheporn furent regroupées pour former le Bürgermeisterei Langsdorf et Pierre COLETTE fut nommé Ortsgruppenleiter. Le nom Langsdorf fut rapidement remplacé par LUBELN. Cette fusion devint effective le 1er avril 1941.

Tous les habitants devaient s’inscrire à la Deutsche Volksgemeinschaft – DVG- « Communauté du peuple allemand » sous menace d’expulsion.

L’introduction le 23 avril 1941 du Reichsarbeitsdienst - RAD- Service National du Travail pour les hommes et les femmes de 18 à 25 ans provoqua la fuite vers l’intérieur de nombreux Longevillois.

Très méthodiques, les Allemands voulaient tout contrôler et les perquisitions de toutes sortes augmentèrent au fil des ans. A cet aspect civil, s’ajouta à partir de 1942 un aspect militaire de plus en plus contraignant même tragique. Le 18 octobre 1942 eut lieu la première incorporation dans la Wehrmacht. Ces incorporations se poursuivirent à un rythme accéléré pour toucher 14 classes d’âge ; les incorporés de la dernière classe n’ayant que 17 ans. Le premier Longevillois tomba sur le front russe le 16 août 1943 ; cette mort sera suivie de sept autres avant la fin de l’année 43.

Suite à cette situation, les désertions et les insoumissions augmentèrent considérablement pour atteindre 160 hommes en octobre 1943 à Saint-Avold.

Les réfractaires firent preuve d’une grande imagination pour trouver des caches, d’abord chez eux ou dans la famille. Les perquisitions devenant de plus en plus fréquentes, les réfractaires se créèrent des caches surtout dans les forêts.

Les Allemands ne pouvant plus admettre ces désertions provoquèrent la rafle du 3 juin 1944. Journée d’horreurs pour les Longevillois : deux insoumis sont abattus sur place,

98 personnes arrêtées dont 10 insoumis ou réfractaires et 24 femmes. Toutes ces personnes furent emmenées le soir-même vers des destinations inconnues d’où 17 ne sont pas rentrées.

Cette occupation se termina tragiquement par l’assassinat de trois jeunes Longevillois le 23 novembre 1944. Longeville fut libérée le 25 novembre 1944.

Histoire de l'abbaye

Retour sur la conférence qui s'est déroulée dimanche 8 avril 2018 à la salle Saint Martin...

M. Jean-Marc SCHWARTZ, directeur actuel du centre de soins de suite, a indiqué quelles seraient les nouvelles orientations en matière de soins après l'achèvement des travaux des 4 bâtiments en cours de construction (vidéo disponible ici). Il a également évoqué les résultats des fouilles menées avant le début des travaux (vidéo disponible ici).

conference abbaye M. SCHWARTZ

Marcel THIL a ensuite proposé un exposé sur l'abbaye de ses origines à la Révolution, riche d'images et d'anecdotes (voir doc. joint ci-dessous).

conference abbaye M. THIL

Celui-ci s'est poursuivi par un historique de la Révolution à nos jours, période ayant connu de nombreux changements de propriétaires et des moments parfois tragiques, présenté par Eugène THIELEN (voir doc. joint ci-dessous).

conference abbaye M. THIELEN

Ces différents exposés étaient agrémentés de diaporamas (retrouvez les images et documents diffusés en cliquant sur l'image en tête de ce chapitre concernant l'histoire de l'abbaye : "Images conférence abbaye 08 avril 2018").

Une exposition de photos sur l'abbaye avait également été préparée par l'association « Amitié et Entraide des Aînés ».

Le centre de soins de suite l'Abbaye sera transféré fin 2018 à Freyming-Merlebach. L'abbaye, vendue à un promoteur immobilier, verra dans son parc, d'ici 2019, une maison d'accueil spécialisée et un foyer d'accueil médicalisé. Toutes les informations concernant ce projet dans l'article du Républicain Lorrain, paru fin novembre 2017, que vous pouvez lire ici.

Patrimoine de Longeville

Dans le cadre des journées du patrimoine, le Cube a organisé, le 16 septembre 2018, 2 rencontres permettant aux personnes intéressées par le passé de notre ville de découvrir les ouvrages disponibles à la bibliothèque.

Il y avait déjà ceux de M. Bouckenheimer Julien (Contribution à l'histoire de LONGEVILLE-LES-ST-AVOLD, 2 volumes) et de M. Losson Emile (Mémoires de guerre, De VITEBSK à CHERBOURG en passant par LONGEVILLE-LES-SAINT-AVOLD et 3 JUIN 1944 à Longeville-lès-St-Avold C'était une belle journée d'été et pourtant...) notamment.

 

Ces rencontres ont été l’occasion de présenter les nouveaux ouvrages rédigés et offerts au CUBE par leurs auteurs : M Thielen Eugène et M Thil Marcel

- Longeville-les-Saint-Avold : années 30 - Evacuation -Moments de vie,

- Longeville-les-Saint-Avold : occupation allemande-libération

- Historique de l’abbaye Saint Martin des Glandières

 patrimoine

Ces rencontres se sont déroulées dans une ambiance très sympathique et conviviale.

Les participants ont pu apprécier à leur juste valeur l’étendue des connaissances historiques de ces deux orateurs et partager avec eux quelques anecdotes de ce passé très riche.

Les ouvrages cités sont consultables à l'espace culturel Le Cube, sur place ou suivant les modalités de prêt habituelles.